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Chapitre 1.1 C'est la rentrée
Sinistros
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Sam 25 Mai - 14:18
Chapitre 1.1

La rentrée des classes

Il est bientôt 21 heures, le Poudlard Express crache sur les quais de nombreux professeurs et élèves britanniques, cracmols et sorciers mélangés, depuis plusieurs années, maintenant. Le trajet a été long, Londres Magique se trouvant un peu plus loin du vrai Londres, mais c’est devenu une habitude. Chacun essaie de garder le sourire, malgré la fatigue les yeux rivés sur le château, votre deuxième maison, colosse indolent qui semble indestructible.

Les premières années sont appelés à se regrouper, pour pouvoir leur faire traverser le sinistre lac autour de Poudlard. Une dizaine de minute passe.

Et vous, vous attendez sagement que l’on vous regroupe par calèche, pour pouvoir arriver plus tranquillement vers la château. Mais, chose étrange, seule la nuit semble vous attendre sur le chemin sinueux qui serpente vers Poudlard. Aucune lanterne autres que celles se trouvant sur les quais. Le brouillard se lève, même. Subitement.

Marche à suivre

Il fait nuit, vous avez fait un voyage de plusieurs heures pour commencer votre nouvelle année. La lune est haute dans le ciel et malgré l’heure, la nuit semble déjà empressée de vous engloutir. Pour ne rien arranger un brouillard se lève. Nulle trace de calèche ou de Directrice, mais que peut-il bien se passer ? Comment votre personnage se sent-il ? Que pense-t-il de tout ça ? Et combien de temps devra-t-il attendre ?

Pas d’autres précisions, pas d’autres consignes. Pas d’ordre non plus, vous pouvez répondre librement à cet évènement.

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Benjamin Biwott
Benjamin Biwott
Benjamin Biwott
6ème année
Benjamin Biwott
Sam 25 Mai - 15:35

C'est la rentrée      
ça part en steack
 

L'oeil noir.
On pouvait aisément comprendre, la terreur inspirée à ses premières années par le regard mauvais que leur lançait cet autre élève plus âgé. Ils avaient eu le malheur de pénétrer son compartiment et de l'envahir avec leurs piaillements intempestifs et leurs spéculations infantiles.

-On dit que les serpentards c'est des méchants pas beaux ! s'exclama une fillette.
-Ouais mais les poufsouffles, c'est les nuls ! rétorqua un garçon au teint pâle
-Les pires c'est les serdaigles, des weirdos je vous dit ! ajouta un rouquin
-Non mais wesh, on en parle des griffondors, tous des boloss ! siffla une fillette aux dents étrangement allongées

C'était le seul moment, où Benjamin avait arrêté sa lecture pour se racler la gorge. Les quatre premiées années, avaient alors stoppé leur petit débat, tous effrayés d'avoir insulté par mégarde ce garçon si froid.

-Les maisons ne définissent pas vraiment ce que vous êtes. s'était t'il contenté de lâcher sans lever les yeux de son bouquin.

Puis le trajet avait repris son cours - Benjamin et les quartes petits n'interagissant que deux fois encore :  Lorsqu'il eut fallu payer des gourmandises (Le plus âgé, commanda en effet pour les plus jeunes, trop intimidés par la vielle sorcière au chariot) et quelques minutes avant l'arrivée à Pré-au-Lard, Benjamin leur montrant avec son calme habituel comment enfiler leur robe de sorciers.

-Merci beaucoup monsieur ! J'espére qu'on sera dans la même maison que toi ! s'exclama la fillette aux dents proéminentes.

Et Benjamin rougit quelque-peu, en voyant ces quatre gamins s'éloigner sur leur barque. Il aurait donné beaucoup pour être de nouveau à leur place - il se souvenait encore d'à quel point toute cette magie l'avait fasciné. Ça le fascinait toujours, d'ailleurs. Mais elle lui était forcément, beaucoup plus familière après six ans - Venir à Poudlard était devenue sa routine. Une routine bien grisâtre, quand il la comparait à ses rêves à propos de Uagadou - c'était toujours mieux que l'orphelinat où il n'avait pas le droit d'utiliser la magie avant l'année prochaine.

Notre héros fit volte face, se faufilant parmi les groupes qui se formaient pour les calèches. Croisant quelques connaissances : il y avait Ernie, un camarade de dortoir qui trainait une lourde et louche valise qui s'agitait sur elle-même. Et cette asiatique serpentard, qui le battait à chaque cours de métamorphoses tempérant des garçons qui se battaient pour monter avec elle. Lui se retrouvait toujours dans une des dernières calèches, avec quelques-autres outsider. Le trajet se faisait généralement en silence, ce qui arrangeait bien Benjamin.

Mais alors que sa traversée difficile de foule s'étendait, se faisait une rumeur, qui s'insinuait au creux de ses oreilles.

Elles sont en retards.
Où sont elles ?
C'est déjà arrivé avant ?


Et Benjamin avançait, se faufilant entre les corps et heurtant les rumeurs. Il fronce les sourcils, fouillant dans sa mémoire. Non. Ce n'est jamais arrivé. Les calèches étaient toujours là, bien à l'heure. Bien avant même l'arrivée du train, sans doute. Le métisse s'asseya sur un des bancs de la gare. Observant la foule qui commençait doucement à s'agiter. Mais un voile gris recouvrit soudainement sa vision. Du brouillard. Et à en croire les exclamations soudaines qui émergérent de la foule, Benjamin n'était pas le seul à penser que quelque-chose n'allait pas.

Il sortit sa baguette.

-Lumos. chuchota t'il

Et l'extrémité de la baguette s'illumina en une boule de lumière blanchâtre. Le poufsouffle s'approcha du groupe, essayant d'observer à travers le brouillard les différentes réactions : de l'agacement, de la panique, de l'exaspération. Et les préfets qui tentaient vainement de calmer les foules.

Comme lui, plusieurs élèves avaient allumés leurs baguettes - certains avaient même lancés des Periculum laissant des trainées d'étincelles rouges qui montaient vers le ciel, déjà obscur.

-J'en ai assez d'attendre ! Je vais boire des Bièraubeurre à Pré au lard ! s'exclama d'une voix criarde l'asiatique plus forte en métamorphoses.

Benjamin la rattrapa et se plaça sur sa route.

-Tu ne peux pas faire ça, Jones ! On doit attendre ici.

Les deux yeux bridés de la fille se plissèrent encore davantage, elle pinça ses lèvres en un expression tout à fait agaçante.

-Et attendre quoi, Biwott ? Je vais pas rester dans cet endroit flippant. Je préfere encore demander de l'aide aux habitants de Pré-au-Lard.

Elle se détourna de Benjamin, mais ce dernier effectua un pas en arrière, tentant de la bloquer.

-Bouges ! s'exclama un des garçons qui se battaient pour elle tout à l'heure.

Le métisse détailla un instant ses deux opposants, avant de s'écarter et de les laisser passer, résigné. Ça ne servait à rien de se mettre en position délicate pour eux - et qui sait peut-être que les habitants de Pré-au-Lard allaient vraiment les aider ? Il resta ainsi quelques-secondes bras ballants, regardant le petit groupe que Jones avaient inspiré, se diriger vers Pré-au-Lard. Puis il retourna s'asseoir sur son banc, sa baguette, bien en mains. Il songea aux premières années... Allaient-ils être accueillis par une grande salle vide ?



HRP
kya
Le premier event ! Du coup en résumé :
Ben s'inquiète du retard.
Il essaye de retenir un petit groupe qui se diriges vers Pré-au-lard mais abandonne et se rassoit sur un banc.
Awful
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Ariel Byrd
Ariel Byrd
Ariel Byrd
7ème année
Ariel Byrd
Dim 26 Mai - 12:50
▲▼C'est la rentrée. - Ou découvrir que Poudlard est aussi organisée qu'une fac française.
La journée avait commencé normalement pourtant.
Fièvre des derniers préparatifs pour être sûr qu'Ariel n'avait rien oublié cette fois-ci qui ne les mette en retard. Stress sur la route, car bien sûr, la réponse avait été si, et qu'ils avaient un bon quart d'heure avait de mettre la main sur son autre gant de Quidditch.
Arrivée cinq minutes sur le quai 9 3/4 avant le départ du train rouge, avec plus qu'une envie, monter dedans. Gros câlins pour les au revoir aux parents, et grosses accolades pour les bonjours aux amis, car le petit blond adorait prendre ses proches dans ses bras.
Petit mise à niveau sur les derniers ragots et potins de vacances, suivi de discussions endiablées sur ce qui les attendaient cette année (les jeux étaient sur toutes les lèvres), autour de sucreries en tout genre. Et enfin, enfilage des robes de sorciers dans les petites cabines en essayant de ne pas éborgner ses voisins du coude.

C'est d'une bonne humeur teintée d'excitation que tout ce monde descendit du train. Et c'est là où les choses avaient arrêtées d'être normales. Rien ni personne ne les attendaient. Les calèches, qui chaque année avaient toujours étaient là, fidèles à leur poste, étaient portées disparues. C'était d'autant plus étrange qu'apparemment, les barques pour les premières années devaient présentes, elles, vu que les premières années étaient partis.

Passée la surprise, la tension monta rapidement parmi les gens déjà fatigués par le voyage. Inquiétude et colère ne faisait jamais bon ménage, et pour ne rien arranger, le brouillard était tombé soudainement. Le petit groupe d'Ariel était retourné prêt du train, toutes leurs baguettes éclairées par des Lumos, et ils chuchotaient entre eux de la marche à suivre. Quelques deuxièmes et troisièmes années de leur maison s'étaient rassemblés auprès d'eux, visiblement rassurés par la présence des plus vieux. Ariel leur faisait des gentils sourires, même si à l'intérieur, il n'en menait pas plus large. C'est lorsque qu'une de ses camarades dit que ça serait plus pratique d'y voir clair sans ce satané brouillard qu'une idée lui vint. Rapidement, il remonta dans le train pour prendre son balai, qu'il ramenait à chaque vacance chez lui, et en profita pour libérer sa pauvre chouette. Inutile qu'elle attende inutilement dans sa petite cage. Il prit même le temps de prendre ses fameux gants et ses lunettes de vol. Il faisait froid et le brouillard réduisait la visibilité. Et même, s'il ne comptait pas voler longtemps, juste le temps d'avoir un aperçu plus global de la situation, on ne plaisantait pas avec la sécurité.

Equipé, le semi-vélane ressortit du train son balai en main, et annonça à ses amis d'une voix décidée :

Je vais prendre de la hauteur. Peut-être que je verrais les calèches arriver par-dessus le brouillard.

Il l'espérait extrêmement fort en tout cas. Il aurait voulu rajouter qu'il était sûr qu'il y avait juste dû y avoir un petit problème d'organisation pour rassurer les plus jeunes. C'est ce qui lui paraissait le plus logique. Mais justement, il n'en était pas sûr. Et sans doute était-il de nature trop inquiète, pour ne pas dire paranoïaque, mais au fond de lui il avait tout de même un peu peur que ce retard pour le moins inédit dans l'histoire récente du château pour ce qu'il en savait, ne soit dû à un problème beaucoup plus grave. Le château était protégé par des charmes d'une puissance dont il ne pouvait même pas imaginer l'ampleur, beaucoup de leurs professeurs sorciers avaient atteint une maîtrise de la magie qu'il ne pourrait jamais que rêver d'atteindre, mais ça ne serait pas la première fois qu'une attaque magique inattendue aurait lieu dans un endroit que l'on pensait inattaquable n'est-ce pas ? Ariel avait été vraiment marqué par les attentats d'il y a 12 ans, dont les évènements récents de Monaco n'avaient fait que raviver le souvenir, et à chaque fois que quelque chose d'inhabituel et d'inquiétant se passait, il ne pouvait s'empêcher d'imaginer le pire. Parce que des fois, le pire arrivait. Et à part un évènement grave, il ne voyait aucune raison plausible pour qu'on les laisse livrés à eux-même sur le quai, alors même que les adultes parmi eux n'avaient aucune explication à fournir.

Dans tous les cas, hors de questions qu'il reste là à se ronger les sangs sans rien faire. L'impuissance était le pire, et comme il n'était plus un petit garçon de cinq ans bloqué devant la télé, il avait bien l'intention de faire quelque chose, ne serait-ce que pour s'occuper l'esprit. Ses amis firent de la place autour de lui pour lui permette d'enfourcher son balai et de pouvoir décoller comme il faut. Une main accrochée au manche, l'autre tenant sa baguette, il murmura :

Lumos maxima.

La lumière qu'émettait le bois magique s'intensifia, et maintenant, il pourrait traverser le brouillard sans trop de problème de visibilité. Il serait juste très mouillé, ce qui ne l'enchantait pas beaucoup. Il espérait ne pas avoir à commencer l'année avec un mauvais rhume !
Étant maintenant prêt, il décolla doucement.
:copyright: 2981 12289 0

HS:
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Abigail Watson
Abigail Watson
Abigail Watson
Professeur
Abigail Watson
Jeu 30 Mai - 15:56

C'est la rentrée

ft. beaucoup de gens

Abigail sert de l'eau aux élèves et s'inquiète un peu pour les élèves de première année.


Assise sur la lourde valise contenant une bonne partie de tes affaires, tu attendais un message provenant de Poudlard. Cela faisait bien des heures que le groupe de sorciers attendait là où les calèches devaient être, et au stade où vous en étiez, n’importe quel signe aurait fait l’affaire pour rassurer les élèves : un hibou de la directrice, une statue animée par un Piertotum Locomotor, un elfe de maison chevauchant une licorne… Tout était bon à prendre dans ce genre de situation.

Fatiguée par le long trajet en train, et lassée par une attente interminable, tu en étais même arrivée à jalouser les professeurs qui avaient le bon rôle : accompagner les élèves de première année. Tu avais le mal de mer, et tu te souviens avoir très mal digéré ce tour en barque lors de ta première année à Poudlard, mais tu donnerais n’importe quoi pour être à leur place. Ils devaient déjà être au chaud, la panse remplie de délicieux repas et prêts à se glisser sous les draps.

Ton ventre grogna soudainement. Quelle idée de penser à la nourriture alors que personne n’en avait dans ses poches. Tu n’en étais pas encore au stade où ton cerveau remplaçait la tête des élèves par un steak, mais tu n’aurais certainement pas refusé quelques biscuits. En revanche, il y avait bien une chose que tu pouvais faire pour soulager un peu cette faim.

Prenant assez d’élan, tu te relevas et ouvris la malle sur laquelle tu étais posée quelques secondes auparavant. Il a fallu quelques minutes avant que tu ne trouves ce que tu cherchais : une simple tasse de thé vide qui ferait amplement son travail. Si Gemino te servit à dédoubler ladite tasse, Aguamenti se révéla plutôt efficace pour remplir les récipients résultant du premier sort. Aidée des autres professeurs, tu commenças à distribuer l’eau aux élèves encore présents près des valises. Ceux qui étaient retournés près du train allaient devoir attendre encore un peu.

La majorité des tasses étant distribuées, tu en profitas pour te diriger vers un banc occupé par un élève de Poufsouffle. Arrivée devant lui, tu lui tendis une tasse d’eau et t’assis à ses côtés afin de te reposer un peu.

_ Cela ne fait pas bien longtemps que j’enseigne à Poudlard, mais ça doit bien être la première fois qu’on a ce genre de pépin
, lanças-tu légèrement dans l’espoir de cacher ton anxiété.

Prenant une gorgée d’eau fraîche, tu réfléchis à votre situation. Si le temps avait été plus clément, tu aurais probablement sauté sur ton balai pour te rendre au château et demander des explications, mais tu n’étais pas vraiment rassurée par l’idée de voler de nuit et dans un brouillard aussi épais.

_ Si nous restons en groupe, ça devrait bien se passer. Quelqu’un finira bien par venir nous chercher.

Après tout, les élèves de première année étaient probablement déjà au château. La directrice allait sûrement se rendre compte du problème en voyant que seulement dix pourcent des élèves foulaient le sol de Poudlard et que le reste était quelque part entre le château et la gare.

_ Enfin, j’espère qu’il n’est rien arrivé aux élèves de première année.

Il est vrai que si même les élèves de première année étaient absents, on pourrait simplement supposer un retard de train. Et tu n’avais pas vraiment envie de passer la nuit dehors, éclairée par un faible Lumos lui-même absorbé par un tel brouillard.
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Ozias Fawkes
Ozias Fawkes
Ozias Fawkes
Bouc sports et arts magiques
Ozias Fawkes
Sam 1 Juin - 19:20
C'est la rentrée askip
feat. plein de gens
Ok poudlard, toi et moi, cette année, c’est le début des trois dernières. Après ça je jure que je mettrai plus un seul pied dans tes couloirs sombres et pourris, pleins de sorciers trop fiers d’savoir faire des trucs avec un bout de bois. Et d’s’abîmer les miches sur un stick en bois. Le summum du ridicule. Pour être honnête avec toi, j’ai pas trop trop attendu c’moment c’t’été j’te dirai. J’suis resté avec ma mère et c’était certainement mieux qu’ici. Entourés d’inconnus aussi débiles que des diricos, qui prétendent tout savoir, tout connaître, même ce qui serait l’mieux pour moi.

Mais il paraît que l’école est obligatoire et que la vie dans la ville est plus compliqué qu’ici. Tu sais Ozy, là-bas tu es en sécurité. Vraiment en sécurité. Et c’est important pour ma mère de savoir que je suis en sécurité quand elle est pas là pour me voir ou pour me protéger. Elle a peur, tu sais, encore maintenant, elle a toujours peur des géants et puis un peu de la magie aussi, même si elle aussi c’t’une sorcière, qu’elle était même très douée, suffisamment sérieuse pour aller à serdaigle. Mais elle a peur, ou alors elle s’obstine à plus l’utiliser. Comme si c’était la cause de tout nos malheurs. La cause du malheur des autres. Elle dit « Heureusement que tu n’en as pas, toi. Heureusement. » Elle me raconte pas que je peux être fier, mais surtout que j’ai pas à porter avec elle la responsabilité des morts moldus et sorciers du monde entier. C’est ça, que ça fait la magie. Sa magie. Ça grignote sa santé mentale, dans sa tête.

Alors me revoilà une fois encore sur les quais du Pré-au-lard, pour ses beaux yeux, pour entretenir le sentiment de sécurité que tu lui apportes, parce que t’es un château, que t’es grand, que t’es fort, que t’es tout en pierre pour mieux nous garder en vie.

Mais qu’est-ce qu’elle dirait si elle nous voyait tous comme ça, agglutiné sur les quais, alors que la nuit tombe et que le brouillard se lève. Enfin s’installe aussi soudainement que si quelqu’un l’avait transplané dans notre coin de l’univers. Comme si c’était réellement possible. Mais moi je le sais. Même si les autres débiles de mon wagon veulent se casser. Si j’étais pas muet je dirai bien ça sent la magie à plein nez. Mais y’a rien qui sort de ma bouche, là encore, mais forcément, forcément quelqu’un d’autre va en faire la remarque, nan ? Si les débiles comme moi le devinent… Mais à la place d’une quelconque annonce allant dans ce sens, une tasse d’eau apparaît entre mes mains.

Wow. Trop utile, dis-donc.

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